5 questions à Manon Bassement, chargée de développement RH des lauréats.

Comment se sont passés les ateliers à destination des lauréats en filière santé et prépa cette année ?

MB : Nous les avons maintenus bien sûr, même si la plupart ont eu lieu en distanciel !

Quel est l’objectif de ces ateliers ?

MB : Ces ateliers ont vocation à aider concrètement les lauréats en 1ère et 2ème années de filière santé ou de prépa à faire face à l’exigence de ces parcours d’études.

Un exemple avec les ateliers destinés aux lauréats de la filière santé ?

MB : Oui ! A l’occasion de ces ateliers, nous réunissons 4 fois par an la vingtaine de lauréats de 1ère et 2ème années de cette filière. Nous faisons en sorte que les dates de ces rencontres coïncident avec les moments stratégiques  de leur année : en début d’année ; avant les concours ; après les premiers résultats, etc. L’idée est qu’ils partagent entre eux et avec des lauréats d’années supérieures, des expériences et des conseils sur la manière de travailler et l’état d’esprit à avoir pour réussir dans ces études. C’est une aide vraiment précieuse !

Concrètement comment ces ateliers s’organisent-ils ?

Ces ateliers se déroulent le samedi matin. Ils durent deux heures. Chacun y apporte les problématiques qu’il a envie de partager, et repart avec des conseils, de l’aide ou des idées.

Pour organiser ces ateliers, j’ai le soutien d’un « lauréat référent ». Il m’aide à caler les dates et le contenu des séances, fait le lien avec les participants. Ces deux dernières années, il s’agissait de Chaïmaa Salihi, étudiante en pharmacie. Pour la rentrée 2021, elle passe le relais à Mohamed Ellabbar et Manar Rhazzali. Je les remercie tous les trois pour leur investissement !

Votre point de vue sur la dynamique de groupe ?

MB : On dit souvent que les études de médecine génèrent beaucoup de concurrence entre les étudiants. Je vois tout le contraire chez nos lauréats ! Ils partagent leur expérience, leurs difficultés ou leurs succès avec beaucoup de sincérité. On sent beaucoup de bienveillance et de solidarité entre eux. Cela nous promet une belle génération de médecins !